Livre lu en Janvier 2017 Partenariat avec les éditions Julliard
Prix maisons de la presse 2017
Livre réecouté dans le courant de l'année 2018 dans le cadre de sa sélection au prix Audiolib 2018
Pourquoi j'ai choisi ce livre :
Ce qui m'a intrigué dans le choix de ce livre, c'est tout d'abord le titre "arrête avec tes mensonges" et l'idée que je m'étais faite que quelqu'un pourrait dire au romancier "arrête de mentir dans tes romans". Ensuite c'est l'idée de découvrir pour la première fois un livre de Philippe BESSON, l'an dernier, j'ai beaucoup lorgné "Les passants de Lisbonne" sans jamais me le procurer, j'en avais d'ailleurs vu un extrait dans les citations quotidiennes qui passent sur Facebook. Cela sera peut-être chose faite que de lire ce livre un jour... le texte de la quatrième de couverture du présent ouvrage m'a également intéresse.... et je remercie le Service Presse des éditions Julliard de m'avoir envoyé ce livre. Ce fut un grand plaisir, quelques mois plus tard, de retrouver et de réecouter/redécouvrir ce livre dans sa vetrsion audio inédite , dans la sélection initiale pour le prix Audiolib 2018. Quatrième de Couverture : Quand j'étais enfant, ma mère ne cessait de me répéter "arrête avec tes mensonges". J'inventais si bien les histoires, parait-il, qu'elle ne savait plus démêler le vrai du faux. J'ai fini par en faire un métier, je suis devenu romancier. Aujourd'hui; voilà enfin que j'obéis à ma mère : je dis la vérité. Pour la première fois. Dans ce livre. Autant prévenir d'emblée : pas de règlement de comptes, pas de violence, pas de névrose familiale. Mais un amour quand même. Un amour immense et tenu secret. Qui a fini par me rattraper. Vidéo de présentation éditeur :
Mon avis : Lorsque j'ai commencé la lecture de ce livre, je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre et je suis tombé bien loin de mon idée de départ, exposée plus haut, je me suis senti un peu mal à l'aise au début de l'ouvrage car je n'avais jamais lu de livres sur le thème exposé dans ce livre. J'étais à la fois loin de ma première idée mais pas trop... En effet, "Arrête avec tes mensonges" c'est un livre vérité sur un amour tenu secret, un premier amour, une relation amoureuse entamée 25 ans plus tôt entre l'auteur et Thomas. Entre deux adolescents que tout oppose : l'un est plutôt studieux et réservé, l'autre plutôt rebelle. L'un ne va pas accepter cette relation et l'autre, plutôt hypersensible, qui connait sa différence, va chercher à la cultiver, et va vouloir vivre cette relation envers et contre tout. Dans les années 80 c'est encore un tabou, mais c'est un amour qui aura a jamais marqué la vie de l'auteur puisque la personne qu'il va rencontrer va lui rappeler ce premier amour. Un amour blessant, clandestin. Le genre d'amour si fort qu'on ne peut le vivre qu'une seule fois dans une vie, des instants voués à disparaître à jamais. Ce livre c'est aussi une occasion de rendre hommage et d'expliquer peut être une sorte de lien entre tous ses romans précédents et une façon de découvrir Philippe BESSON autrement pour ceux qui le connaissent. Une bonne lecture du mois de janvier, dans laquelle, la plume touchante et sensible de l'auteur, fait de ce texte un roman poignant sur la difficulté d’être soi dans certains contextes sociaux ou familiaux.
Mon avis à propos de la version en livre audio : La version en livre audio qui m'a été envoyée par Audiolib dans le cadre du Prix Audiolib 2018 a été une belle surprise . Que dire de plus sinon le double plaisir que j'ai eu a l'écouter, et pour venir agrémeenter cette première chronique, je voudrais rajouter que, pour moi l'écoute de cette version, lue par la voix d'Antoine LEIRIS vient élever cet ouvrage au rang de coup de coeur, avec tres belle restitution, touchante, sensible et très bien réalisée. Un très bon choix de lecteur de la part d'Audiolib. Ce livre fera assurément partie des 5 premiers nominés pour la phase finale du prix Audiolib. Je remercie Pauline et toute l'équipe d'Audiolib pour l'envoi de cet ouvrage et adresse toutes mes excuses pour le retard de publication des chroniques :( Parfois, il faut peu de mots pour décrire une sensation de lecture ou d'écoute... J'avais déja pas mal écrit de choses dans mon avis en 2017, je trouvais normal d' etre simple et clair quant à sa version audio très agréable et touchante à mes yeux. Hop et un coup de coeur ! Un !
Petit aparté au sujet d'Antoine LEIRIS Allez hop, puisque je vous parle d'Antoine LEIRIS, je me permets de faire un petit aparté pour vous signifier son livre "Vous n'aurez pas ma haine" que j'ai lu et qui devrait trôner dans toutes les bibliothèques tant il est magnifiquement interprété par André DUSSOLIER pour Audiolib Toujours. Et vous pourrez en trouver la chronique ici. Fin d'aparté !
(...) les gens de l'Education Nationale devaient penser qu'il fallait nous protéger du présent, nous enfermer dans le passé, nous obliger à connaitre nos classiques, à nous maintenir dans notre état de petits singes savants (...)
Avez-vous remarqué comme les paysages les plus beaux perdent leur éclat dès que nos pensées nous empêchent de les regarder comme il faudrait?
Pourquoi moi ? (...) Il dit : parce que tu n'es pas du tout comme les autres, parce qu'on ne voit que toi sans que tu t'en rendes compte. Il ajoute cette phrase, pour moi inoubliable : parce que tu partiras et que nous resterons. J'ai les larmes aux yeux en recopiant les mots. Le sentiment amoureux, il me transporte, il me rend heureux. Mais il me brûle aussi, il m'est douloureux, comme sont douloureuses toutes les amours impossibles. J'écoute uniquement les chansons, parce qu'elles disent la vérité. Plus elles sont bêtes, plus elles sont vraies. D'ailleurs, elles ne sont pas bêtes. Qu'est-ce qu'elles disent ? Elles disent : « Ne me quitte pas... Ton absence a brisé ma vie... » Ou « Je suis une maison vide sans toi... Laisse-moi devenir l'ombre de ton ombre... » Ou bien « Sans amour, on n'est rien du tout... »
J'ai dix-sept ans. Je ne sais pas que je n'aurai plus jamais dix-sept ans, je ne sais pas que la jeunesse, ça ne dure pas, que ça n'est qu'un instant, que ça disparaît et quand on s'en rend compte il est trop tard, c'est fini, elle s'est volatilisée, on l'a perdue, certains autour de moi le pressentent et le disent pourtant, les adultes le répètent, mais je ne les écoute pas, leurs paroles roulent sur moi, ne s'accrochent pas, de l'eau sur les plumes d'un canard, je suis un idiot, un idiot insouciant.
Nous ne sommes plus ce que nous avons été. Le temps a passé, la vie nous a roulé dessus, elle nous a modifiés, transformés. Nous ne nous reconnaîtrons pas. Peu importe que l'apparence ait été préservée, c'est le fond de ce que nous sommes qui n'a plus rien à voir.
Cela fait quelques jours que l'envie de venir vous écrire me titille !
Eh oui ! le blog me manque, mais, comme je l'ai souvent dit, depuis ce mois de septembre 2017, le temps me manque, alors j'ai décidé de prendre ce temps, mais ce temps je ne vais pas le prendre d'un trait, je vais a la fois prendre le temps.... et me laisser le temps, car, oui, je vous écris cet article, mais j'ai décidé de vous le proposer sous une forme un petit peu spéciale, - qui ne part de rien, certes, sinon d'un désir d'écriture et d'une page blanche, support numérique a défaut d'être matériau palpable - en tentant de respecter la règle suivante : au moment présent, je commence a l'écrire sans en connaitre a l'avance ni son contenu, ni sa finalité, ni même le jour auquel je déciderai qu'il sera terminé.
Et je vous avoue qu'en le commençant, je n'aurais même pas imaginé en écrire les quelques lignes.précédentes...
Comme dirait Perec au tout début d'"Especes d'espaces"
J'écris
J'écris que j'écris....
Amusant...
Et pourtant, parce que mon intime conviction me le dit, je sais que je ne vais pas parler pour ne rien dire.... donc autant que je ne me taise pas et que je laisse couler les mots comme ils viennent.... peut être quelques lignes par jour ou simplement quelques mots... bref, quelques phrases, quelques idées... structurées et pourtant écrites sans filet.... c'est ça qui m’intéresse dans l'écriture de cet article.
Bien que je sois moins présent sur ce blog, je ne cesse de lire et de découvrir de nouveaux auteurs, je lis beaucoup, et je me rends compte que je lis des choses très différentes et qu'il m'est de plus en plus difficile, lorsqu'un livre est terminé, de choisir celui que je vais décider de lire ensuite... choix de plus en plus cornélien, ça tient a quoi ??? Je peux passer d'un thriller a un essai, voire a une Bande dessinée, ce que je ne lisais pas avant. Lorsque je me balade parmi les étals de mes libraires fétiches, je me rends compte, et je suis d'ailleurs très étonné a quel point la BD peut être un pont vers de la littérature plus classique, genre, non que je méprise mais qui j'avoue me pique encore un peu... pourtant je songe a aller lire Proust depuis quelques temps, Je sais que le jour ou je m’attellerai a la lecture de "La recherche" viendra. En lisant ce que je viens d'écrire... je sais que je m'en demande beaucoup mais en même temps, j'ai l'impression que j'ai envie de me (re-)constituer une culture littéraire solide. ca prend d'ailleurs pas mal de temps, mais je sais aussi que je vais a mon rythme et que de ce que je tiens pour de l'utopie a un instant T jusqu’à la concrétisation de ce désir, de cette envie, il suffit d'une dose de volonté, d'un petit boost parfois, c'est pas désagréable. J'ai toujours aimé me lancer des défis, et les relever a mon rythme, c'est un moteur dont je sais et je suis presque convaincu que j'en retirerai les fruits d'une belle expérience une fois engagé sur ma lancée.
Bien sur, je continue a écouter des livres, et vous savez, chers lecteurs de ce blog combien l'écoute de livres audio est importante pour moi, je l'ai suffisamment dit et répété. Au moment ou je vous écrit je suis en train d'écouter "L'appel Sauvage" (L'appel de la foret) de Jack LONDON lu par le comédien Jean RENO et sorti le 29 Novembre dernier (2017) chez Audiolib. Grosse découverte et grosse claque ! Parce que la encore, il y'a deux ans et demi, lorsque je me suis remis a la lecture (encore une fois a mon rythme) je n'aurais jamais songé lire ce genre d'ouvrages. J'en étais d'ailleurs bien loin.
Je vais d'ailleurs vous expliquer les raisons de cette lecture / écoute.
Dans le cadre du blog, sur les conseils de la libraire jeunesse de ma libraire fétiche je m'étais promis de faire une chronique Jeunesse chaque mercredi.Et pour alimenter cette chronique, il me fallait des idées. J'ai pioché un petit peu dans mes gouts, elle m'a également proposé des choses, que je vous ai chroniquées, d'autres qu'il me faudra chroniquer un jour... car un livre est intemporel.... donc sa chronique peut etre faite a n'importe quel moment.... Et donc, au détour d'une flanerie dans l'une de mes librairies fétiches, la libraire me présente un jeune garçon se prénommant Pablo.... On discute quelques minutes ensemble et me vient l'idée de lui poser une question : "Si tu devais emporter un seul livre jeunesse sur une ile déserte, lequel emporterais-tu, sans hésiter? Avec un aplomb déconcertant, celui-ci me répond : "L'appel de la foret de Jack LONDON" et me "vend" littéralement le bouquin. Je repars avec le bouquin dans mon sac, le pose en me disant "je m'y mettrai un jour ou l'autre.... En effet, j'ai essayé de m'y mettre mais ne suis pas rentré dedans, faute de temps ou de concentration, je n'en sais rien, car je n'analyse pas systématiquement chacune de mes actions (ceci relèverait pour moi d'une forme de folie qui ne m’intéresse pas.) Récemment, je tombe sur la vidéo d'un extrait des obsèques nationales du regrétté Johnny HALLIDAY dans lequel Jean RENO lit un texte de Jacques PREVERT. J'ai adoré son interprétation pleine de sensibilité dans des moments si difficiles. Et dans les sorties Audiolib du mois de décembre, figurait cet "Appel sauvage" lu par Monsieur Jean RENO. Le texte lu dure 3h44, et au moment ou je vous écris ces lignes, j'ai écouté d'un trait 1h45 de ce livre et j'en reste bouche bée.
Demain, j'écouterai la deuxième partie de cet ouvrage qui est une très belle surprise. Donc j'ai envie au travers de ces lignes de remercier ce jeune homme, Pablo, pour m'avoir permis de découvrir cet ouvrage la encore que je n'aurais jamais lu de moi même.
Je voudrais vous parler du Journal de Jules RENARD que j'ai terminé hier ! Un ouvrage que je vais conserver bien au chaud pour pouvoir y revenir de temps a autre tant ce journal est foisonnant d'anecdotes, de tranches de vie, de poésie, de petites histoires, d'idées.... Un réel plaisir de lecture durant ce mois de Décembre que je voulais partager via ces quelques lignes avec vous.
Je me suis amusé a recopier ce texte dans Word... et... hop... deux pages ! L'improvisation a du bon !
Continuons sur notre lancée, entamons la page 3
J'ai lu des tonnes de citations de Jules RENARD sur Facebook, Twitter et a gauche et a droite au gré de mes flâneries sur la toile... D'ailleurs cet auteur comme d'autres font partie de ces auteurs tellement prolifiques que l'on boit leurs paroles. Depuis deux ans maintenant, je ne lis pas un livre sans qu'une citation, une maxime ou un enseignement s'en dégage et je consigne tout cela dans un document précieusement gardé. J'aime beaucoup les maximes, humoristiques ou sérieuses. En choisir une parmi toutes celles que j'ai lues et conservées serait chose particulièrement difficile, mais il me plait, quand j'ai un petit coup de mou, ou besoin d'aller chercher un thème bien précis d'aller prendre ce document sur une page au hasard (il y'en a plus de 1500...) et de le relire jusqu’à plus soif. J'y trouve au final un certain apaisement, et bien souvent des réponses a des questionnements intérieurs. Pour qu'elle entre dans ce document, il faut que la citation m'ait touchée d'une manière ou d'une autre et que sortie de son contexte, elle puisse avoir une certaine portée dans mon esprit. En accumulant des citations d'auteurs que je ne connais pas, lorsqu'elles s'étendent sur plusieurs pages d'un meme auteur, la question que je me pose bien souvent est : "Tiens quel livre de cet auteur pourrais-je lire ?" Ainsi, dans les auteurs dont les citations m'ont marquées, on trouvera : Victor HUGO, Marcel PROUST (dont je vous ai parlé plus haut) Voltaire, Coluche, pas étonnant puisque avec DEVOS, ce sont deux comiques et jongleurs de mots que j'adore parmi tant d'autres.
Aujourd'hui, même combat avec Henri David THOREAU dont je viens de terminer la lecture d'un recueil de citations... et donc de noter énormément de choses dites parfois avec dérision et humour parfois avec poésie sur énormément de sujets qui me touchent et me renvoient bien souvent a ma propre condition et conception de la vie et du monde.
Jour 2 : J'ai le nez dans "le bouquin de l'humour" de Jean-Loup Chiflet et croyez le ou non, la phrase qui me fait sourire et revenir écrire quelques lignes est tirée des brèves de comptoir de Jean-Marie GOURIO dont quelques unes sont citées.
"Dans les Pim's t'as une espèce de drogue qui fait que faut que t'en rachète coute que coute"
Quoi ??? Blasphème, vous connaissez pas les pim's... Je dois vous affirmer que cette phrase, sous ses airs de connerie est tellement vraie que j'ai du me faire violence pour ne plus aller acheter ces biscuits moelleux au chocolat et a la marmelade d'orange. Rien que de lire la phrase et de vous l'écrire, le gout me revient en bouche comme un appel. Je ne céderai point a la tentation !!!
Hier, je me suis baladé en librairie, et j'ai par hasard cherché "A la recherche du temps perdu"... Vous rigolez ou quoi ? Il faudrait presque une année entière pour en lire tous les tomes. Et ma pile a lire actuelle va s'en trouver lésée.
Je ne me suis pas amusé a compter le nombre de livres qu'ils me restaient à lire, et ne le ferai probablement pas, mais je fais volontiers mienne cette pensée de Jules RENARD, qui dit en substance que "quand j'y pense, j'ai la certitude d’être heureux encore un bon bout de temps..."
Voila une bonne résolution pour 2018 : continuer à lire encore et encore, faire de belles découvertes, mieux se découvrir soi même au travers de ces lectures et partager le plus possible avec d'autres celles qui m'auront fait vibrer, que ce soit dans les librairies, dans les clubs de lecture, en famille entre amis ou ici sur le blog.
Et en voici une autre encore : Reprendre activement ce blog, le faire vivre et l'alimenter de ces petites pépites littéraires qui font ou ont fait mon bonheur par le passé et propager l'information pour a mon tour faire découvrir de jolies choses aux autres.
Au fur et a mesure que je lis , mon esprit critique s'affine, donc il devient de plus en plus de me convaincre voire de me satisfaire avec un livre. Bien sur, j’essaie de garder autant que faire ce peut, cet émerveillement des premiers instants, en veillant toutefois a ne pas tomber dans une forme de niaiserie mal placée. Mais je dois reconnaitre que certaines fois, ma rencontre avec tel livre ou tel auteur ne se passe pas comme prévu, ou va a l'encontre de ce que les blogueurs, les libraires, ou les critiques littéraires ont laissé apparaitre. Je lis le moins possible la critique littéraire qu'elle soit journalistique, ou provenant des blogs mais, pour vous donner un exemple, parmi les derniers en date, je vais vous parler d'un livre de littérature jeunesse signé Anne-Laure BONDOUX, son dernier en date, "L'aube sera grandiose" avec lequel je n'ai absolument pas accroché. En fait je l'ai lu jusqu'au bout et... une fois terminé, a la question : "Qu'est-ce que j'en retiens ?", je n'ai absolument pas su y répondre.
Je ne dépose jamais mes livres dans des boites a livres.
Pourtant avec ce livre la, j'ai tenté.... et le livre est parti...
C'était a Paris, en réalité, je l'ai déposé sur un banc avec la ferme intention que ce livre fasse son voyage, et soit apprécié, plus que je n'ai pu le faire. Peut-être qu'a l'heure qu'il est, il est passé de mains en mains et fera un heureux pour Noel ! Ce serait mon vœu le plus cher.
Si je vous ai parlé de ce livre, sorti au mois de Septembre dernier, c'est que son auteure était présente hier soir aux cotés entre-autres de Pef, Marie DESPLECHIN (...) et le pédopsychiatre Marcel RUFO sur le plateau de "La grande Librairie" qui a l'approche des fêtes était consacré a la littérature jeunesse.
La grande librairie qui a, comme l'an dernier d'ailleurs mis le focus sur un concours et une initiative que j'apprécie tout particulièrement qui s'appelle "Les petits champions de la lecture"
Ce concours sous forme de jeux a plusieurs objectifs.
Promouvoir la lecture auprès des jeunes grâce à l’oralité : une façon festive de toucher un large public, en mettant l’accent sur la sociabilité et le partage. Apprendre aux jeunes lecteurs à choisir un livre, à en apprécier sa lecture et à le partager à voix haute. Promouvoir la littérature de jeunesse et particulièrement les auteurs actuels. À la Comédie-Française, les auteurs des livres choisis par les enfants sont présents pour une finale exceptionnelle. Ils se déplacent également dans la classe du finaliste pour une rencontre privilégiée avec les élèves. (Source : Site Web LES PETITS CHAMPIONS DE LA LECTURE)
Et qui de mieux que les enfants pour parler de la lecture, de ses plaisirs et de ses bienfaits.
La vérité sort de la bouche des enfants ! Jugez plutot au travers de cette vidéo récapitulative de la Finale 2017 qui s'est déroulée en Octobre dernier.
Peut-être vous demandez vous si d'un jour a l'autre, je relis cet article ?
Je peux vous affirmer que dans un premier temps, j'écris les choses comme je les ressens, mais je me concentre sur l'instant, et je rajoute des mots plus que je n'en retire donc la seule phrase que je lis c'est celle que je viens d'écrire sur l'instant. Vous pourriez me reprocher d'écrire comme je parle, c'est peut être pas faux mais je trouve que cela donne du charme a cet exercice de laisser guider sa pensée sans filet. Je laisse mijoter quelques jours et je relis l'article, je remplace quelques mots sans altérer le propos que je voulais tenir mais j'embellis seulement ma phrase pour la rendre plus... audible, sans en changer le propos tenu.
Je vous parlais de mon recueil personnel de citations qui m'aident a aller mieux en cas de coup de blues passager, il est autre chose qui est pour moi un véritable remède a la mélancolie : un livre rassemblant les citations du chanteur Henri SALVADOR est paru au cherche-midi. Grand optimiste devant l'éternel, Salvador, rien qu'en ouvrant son livre a le don de me redonner le sourire en moins de 10 secondes. Ce livre intitulé à juste titre "La joie de vivre" est un véritable antidote a la morosité et ce titre est la représentation parfaite de l'image que j'ai de son auteur. Merci les éditions du Cherche-Midi.
Jour 3 :
Par hasard, je viens de retrouver cette image "...Il était plusieurs fois" et je trouve qu'elle a sa place dans cet article bien qu'a la base je ne voulais pas utiliser la forme du journal pour l'écrire... Il me faudrait je pense ôter la mention des jours pour que cette impression n'existe plus dans la tête du lecteur qui me suivra jusqu’à ces lignes... quoique si je me pose la question et que je vous en parle, je casse un petit peu la magie initiale de la chose.... Merci d'ailleurs de m'avoir suivi jusqu'ici !
C'est précisément cette image aujourd'hui qui me fait revenir vers vous.
Je vous parlais, plus haut de l'apport de la BD pour mieux faire connaitre la littérature classique, méme contemporaine, on a vu fleurir une adaptation de "Au revoir la haut" de Pierre LEMAITRE,, La vie devant soi de Romain GARY, L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté dans une armoire ikéa (que j'ai adoré dans sa version livre audio) de Romain PUERTOLAS, qui ne m'a pas interessé plus que ca, tant l'opinion ultra positive que j'ai eue de ce livre audio lorsque je l'ai lu en 2015 a dépassé toutes mes espérances, et plus récemment on a vu arriver sur les tables des libraires l'adaptation du roman d'Olivier BOURDEAUT "En attendant Bojangles" aux éditions Steinkis. Aux commandes de cette adaptation, Ingrid Chabbert au texte et Carole MAUREL aux dessins. Adaptation préfacée d'ailleurs par l'auteur lui meme. Si graphiquement j'ai beaucoup aimé les planches réalisées pour illustrer cette édition, je suis un peu plus mitigé pour ce qui est du texte, que je trouve en décalage par rapport a l'oeuvre originale. Peut-etre que l'auteure a voulu faire ressortir un autre aspect de ce roman que malheureusement je n'ai pas su saisir. Lu dans son édition originale puis écouté en version audio par la suite, la version BD pèche selon moi, et c'est fort dommage, sur ce point, qui n'est malheureusement pas des moindres, l’atmosphère du texte initial, et le propos qu'il véhicule n'est pas restitué de la meilleure manière qu'il soit. C'est dommage a mes yeux donc c'est une lecture en demi-teinte que j'ai faite de cette version. Le roman et le livre audio paru chez Gallimard ont ma préférence, j'en ai d'ailleurs beaucoup parlé et je tiens a dire qu'Olivier BORDEAUT est attendu au tournant puisqu'en janvier prochain sortira chez Finitude son second roman que j'attends avec impatience... Son titre : Pactum Salis.
Sera t'il aussi bon voir meilleur que le premier ? Nous verrons cela !
Je vous ai proposé il y'a quelques temps un article mettant a l'honneur 5 livres audio, je vais réitérer la chose très bientôt. Je pense enfin avoir trouvé celui qui manquait a l'appel pour vous offrir cette chronique multiple et variée. Elle est en projet, et le simple fait de voir ces livres audio posés sur ma table m'y fait penser.Vous connaissez déca le nom de l'un d'entre eux puisque je vous en ai vaguement parlé plus tôt dans cet article.
Allez, je succombe a l'idée de vous mettre des images et des vidéos parce qu'un article textuel uniquement, je conçois que cela soit un peu long et rébarbatif a lire. En regard de chaque livre ou idée dont je vous parle, je vais compléter par les visuels correspondants.
Au passage, sans images, au moment ou je vous écris ces lignes, il y'a 6 pages de document Word... alors que pour moi ces pages ne sont qu'un amas de petites lignes de textes saisies un peu chaque jour je me pose la question "Est-ce comme cela que naissent les histoires qui font le sel de nos livres ?"
Tiens j'aime bien cette fin de phrase... Tout ça pour vous amener a ce qui a été pour moi un petit exercice d'écriture personnel...
Françoise HERITIER a sorti deux livres : Le sel de la vie et au gré des jours. dans lequel elle écrit a un médecin débordé de travail en lui disant en substance "tu es tellement débordé que tu passes a coté de toutes ces petites choses qui font le sel de la vie" et constitue au travers d'une longue phrase de plusieurs pages tous les petits plaisirs que la vie peut procurer... Ca commence dans le sel de la vie puis ca se termine au milieu du livre "Au gré des jours". J'aime beaucoup ce genre de petits exercice, et j'aime bien a partir de ces écrits, les ramener a moi même. Ca offre des petites madeleines revigorantes.
J'avais fait le meme genre d'exercice avec ce qu'on appelle un texte a démarreur "A quoi tu penses ?" a partir des écrits d'Hervé LE TELLIER dans un livre qui s'appelle "Les amnésiques n'ont rien vécu d'inoubliable.".Je me souviens également avoir pris le contrepied de cette idée en me posant la question, voire en posant la question a des amis : A quoi ne penses tu pas ?. J'en ai d'ailleurs consigné les réponses a titre personnel. On peut faire cet exercice avec des tonnes de démarreurs, on se souvient du "Je me souviens" de Perec, on peut en arriver a "J'ai oublié..." ou "J'aurais donc vu la fin..." Ce qui est certain c'est que je n'aurai pas encore vu la fin a la fois de cet article et de ce blog, c'est une certitude.
Au fur et a mesure de l'écriture de cet article, je me rends compte que je me dévoile beaucoup....
Beaucoup trop ? Je ne sais pas... Ce qui est certain, c'est que je ne suis pas du genre a voyager masqué. Je pense que nos lectures, en plus de nous construire, nous révèlent, et mettent de la lumière dans notre part d'ombre. La façon dont on écrit également est assez révélatrice et changeante au fil de nos lectures et de nos apprentissages.
Je suis vraiment content de partager avec vous au travers de ces quelques lignes, un peu de ce temps ou je n'ai pas écrit, une façon de rattraper le temps perdu comme on peut. E,
Jour 4 : Quelques petits plaisirs de lecture au rayon BD et Jeunesse pendant ces mois d'absence :
Poemes pour mieux réver ensemble de Carl NORAC et Géraldine ALIBEU aux éditions Actes Sud Junior, de très jolis textes bien ciselés qui font a la fois sourire ou réfléchir.
L'édition Grand format de "Moi Boy et plus encore" de Roald DAHL illustré par Quentin Blake et éditée a l'occasion du centenaire de la disparition de l'auteur par Gallimard Jeunesse. Les illustrations de Quentin BLAKE sont a chaque fois à tomber A compléter si possible par le numéro spécial de Lire consacré a cet auteur (réedité également en version cartonnée). En parallèle de toutes ces très jolies édtions, si vous ne connaissez rien a Roald DAHL (Blasphème !) je vous invite également a découvrir "Le monde Farabuleux de Roald DAHL chez Gallimard Jeunesse encore ! qui est un livre qui résume tous les livres de cet auteur et qui vous donnera, grâce aux fabuleuses illustrations de son complice Quentin Blake, l'envie je le sais de découvrir la richesse de l'oeuvre de cet auteur et de vous plonger dans les histoires fabuleuses issues de son imagination fertile. Charlie et la chocolaterie... Le bon gros géant... et j'en passe.
Jour 5 : Quelques petits plaisirs de lecture au rayon BD et Jeunesse pendant ces quelques mois d'absence (2eme épisode).
Je continue ma petite présentation de ces ouvrages qui ont attiré mon attention ces quelques derniers mois coté Jeunesse et je voudrais vous présenter deux ouvrages qui me tiennent particulièrement a cœur tant ils sont superbes.
Le premier c'est Alice et Merveilles, un conte musical de Stéphane Michaka d’après le roman de Léwis Carroll, je ne vous dis pas lequel vous ferez le rapprochement par vous mêmes.
J'ai découvert cette version sur France Culture puisqu'a la base, c'est un enregistrement qui a été réalisé dans le cadre des Fictions de France Culture en 2015.... et c'est une édition chez Didier Jeunesse sous deux formats qui a suivi cette année ; Livre CD et Album. Dans tous les cas c'est une véritable réussite et un réel plaisir que d'écouter cette adaptation du conte, enrichie de chansons, de musique, d'effets sonores et c'est brillamment réalisé.
(A Suivre...)
Jour 6 :
J'ai lu aujourd'hui un petit livre cartonné d'Eric Emmanuel SCHMITT sorti il y'a quelques temps au livre de poche : Mes maitres de bonheur. Ce livre rassemble contient les oeuvres de l'auteur sur son rapport a la musique et aux compositeurs qui l'ont révélé : "Ma vie avec Mozart", "Quand je pense que Beethoven est mort alors que tant de crétins vivent" (ces deux ouvrages font partie d'un cycle "Le bruit qui pense) en référence a cette célèbre citation de Victor Hugo : "La musique c'est du bruit qui pense"... et un petit opus inédit : "Le mystère Bizet". Quelle belle célébration de la musique dans sa beauté, ses vertus apaisantes, ses bienfaits a la fois psychologiques et philosophiques (si si !) Merci Mr Schmitt pour ces jolies évocations, les questionnements procurés au travers de ces textes et parfois ces petites leçons de vie.
Jour 7 :
Je dispose d'un petit pool de livres que j'ai déjà lus et dans lesquels j'ai glissé des marques pages a des endroits précis, parce que j'ai noté une idée, un bout de phrase qui me plaisait de tel ou tel auteur. Je place dans certains de ces livres des marques pages par dizaines et il peut se passer des mois entre le moment ou je lis le livre et le moment ou je réouvre le livre a la page indiqué par la présence du marque page. Je relis les deux pages extraites du livre, et il m'arrive quelquefois de ne plus savoir pourquoi a cet endroit la j'ai placé un marque page... je ne retrouve plus, la phrase, l'idée qui a motivé mon choix de garder tel ou tel extrait d'un livre. C'est bien embétant, mais cela prouve aussi que parfois, en relisant, les mots n'ont plus la même portée.... A quoi cela tient ? Un état d'esprit ? Je n'en sais rien.... Je voulais juste relater ce petit sentiment de frustration. ressenti depuis quelques temps...
Jour 8 :
Le premier lecteur, c’est toi qui vient d’écrire.
Tu as écrit parce que, peut etre, tu auras envie de relire ce que tu auras
écris.
Le premier lecteur, c’est toi qui as écrit.
Le sais tu si tu reliras ce que tu as écrit ?
Si ce que tu as relu t’a intéressé, d’autres viendront peut-être. Eric POINDRON
Je viens de trouver ce texte dans un petit ovni littéraire dont j'ai laissé le nom de l'auteur. Une juste réflexion en quelques lignes que j'avais envie de vous partager aujourd'hui en vous laissant le méditer, bloggueurs de passage, écrivains ou simples visiteurs. J'espère évidemment que d'autres personnes viendront lire ce que j'ai écrit. et que l'idée de ce post inspirera d'autres personnes... Pour ma part, j'aime beaucoup cet exercice qui me "force" indirectement a venir poser quelques lignes chaque jours, sans interruption depuis... déja 8 Jours... !
Il suffit d’oser écrire une ligne, puis une page ;
et encore une autre. Alors, l’écriture devient un rendez-vous, une rencontre
avec soi que vous ne pouvez remettre sans mauvaise conscience. « Nulla dies sine linea », comme l’écrit Pline l’Ancien & le sage :
« Jamais un jour sans une ligne"
Dans ce même livre, deux questions qui m'ont interpellées : Comment savoir quand le texte est terminé ?
Est-ce qu’un texte peut se terminer ?
Peut-on répondre a ces questions ? Non. (en tout cas pas en l'état... modifions les... et adaptons les au présent texte !) : Dois-je un jour terminer ce texte ? Oui Est-ce qu'un texte doit se terminer ? Oui, mais le plus tard possible !Ais-je envie que le texte se termine ? Non.
Je pense que tant que la réponse a cette ultime question, sera négative, il est logique que mon texte ne se termine pas. Mais je pense aussi qu'un texte se termine quand on n'a plus rien a dire... Et le jour ou je n'aurai plus rien a dire... est bien loin ! Continuons de plus belle !
Jour 9 : Un petit questionnement me vient a l'esprit aujourd'hui, non pas que je ne sois pas en forme ou quelconque autre motif, mais juste une petite réflexion qui vient de pointer le bout de son nez : Est-il vraiment nécessaire d'attendre a tout prix les écrits d'un auteur dont on a particulièrement apprécié, adoré, plébiscité, dont on a couverte de superlatifs telle ou telle oeuvre. "oh y'a un roman qui doit sortir, sera t'il aussi bon, me surprendra t'il autant que les précédents ?"Aujourd'hui... j'en doute ! Quand on attend beaucoup d'un auteur, quand on idéalise le livre suivant, on peut s'attendre a des surprises... positives, comme négatives...
Cette sensation s'est produite notamment avec "On la trouvait plutot jolie" de Michel BUSSI qui, en dehors de sa couverture sympathique, m'a laissé un gout très amer. L'intrigue semblait plutot bien partie mais voila qu'il manquait quelque chose pour satisfaire mon bonheur, cette dose d'adrénaline qui monte jusqu'au dénouement final. Est-ce que ce sont les sujets abordés qui m'ont dérouté ? non je ne pense pas. J'ai senti une grosse inégalité par rapport a "Nymphéas noirs" ou "Maman a tort" qui furent de gros coups de coeur. Est-il judicieux de faire des comparaisons entre les différents ouvrages d'un meme auteur ? La question peut se poser également. Du coup, m'étant procuré la version papier de ce livre a sa sortie, je n'ai pas eu envie de le réécouter en version audio. En revanche, Même constat, cette fois ci avec un livre audio, enregistrement d'un livre de ce même auteur. "Ne lache pas ma main" chez Audiolib. Ne mettons pas en doute les qualités de lecture et de restitution du texte par la comédienne, mais plutot l'intrigue, plate et lente qui fait l'objet de ce livre. Disons qu'au milieu du livre on comprend pourquoi on le lit et ensuite le suspense tombe totalement.... Bref, jolie déception pour moi. Merci toutefois a l'équipe d'Audiolib de m'avoir envoyé cet ouvrage que j'ai écouté tranquillement en fin d'été 2017.Je pense que plutot que d'attendre impatiamment un ouvrage n'est pas toujours une bonne idée... C'est pourquoi j'essaie autant que faire ce peut (et j'y serai encore plus vigilant l'année prochaine) de laisser aller mon feeling, ma sensibilité au gré des propositions littéraires... Pour certaines, elles seront audacieuses, j'en suis bien conscient, pour d'autres, elles seront guidées par mon intuition.... peut-être un peu plus affinée... Il parait qu'on se bonifie avec le temps !Laissons parler notre coeur, la rentrée littéraire de Janvier est prometteuse... Espérons que ce ne sera pas des promesses vaines... En tout cas, pour ma part je suis pret ! Elle peut arriver !
Jour 10 : Ecoute audio aujourd'hui ou plutot réecoute d'un livre paru en 2016 : Chanson douce de Leila SLIMANI paru dans la collection Ecoutez-Lire de Gallimard il y'a quelques mois. J'ai pris plaisir a écouter et redécouvrir ce livre porté par la voix de Clotilde Courau qui nous plonge dans cette histoire aussi terrifiante qu'elle est passionnate.
Hier j'ai lu également le livre d'Olivier BOURDEAUT - Pactum salisn sorti avec quelques jours d'avance et qui, disons le d'emblée, m'a profondément déçu. Je ne m'étendrai pas longtemps sur ce que j'ai a dire de cet ouvrage, bien différent de son prédécesseur.Je pense qu'il faut rester et s'en tenir a la bonne image que l'on a eu de Bojangles tout en restant certain que Pactum Salis, malgré cette déception trouvera son public, en tout cas je l'espère, pour ma part, bien que je l'aie lu jusqu'a la fin.... je suis resté sur ma faim... malgré ses longueurs et platitudes, Avais--je trop idéalisé la chose, je n'en sais rien ? C'est une expérience dans tous les cas...
Jour 11: Voila un autre aspect de mon blog que je voudrais "reprendre", cette partie "Curiosités" dans laquelle j'espere mettre de nouvelles découvertes, petites pépites et petits remèdes culturels a vous partager. Pour terminer cet article, je voudrais vous partager une bande-annonce celle du film l'illusionniste de Neil BURGER, un film que j'ai vu il y'a quelques années maintenant et qui m'est récemment revenu a l'esprit par le biais d'une émission de radio, "Remèdes a la mélancolie" sur France Inter Je vais, avant de conclure cet article, en profiter pour vous souhaiter un bon bout d'an, vous donner rendez-vous a l'année prochaine, toujours plus riche en lectures, et en découvertes. A L'année prochaine ! Potit Panda